Un bon matin...

- Excellent, bien dit Malteste. C'est vrai que tu dois être intelligente pour survivre dans un combat. Tu en sais plus que tu ne le crois sur les tactiques de groupes, tu nous a vu nous battre depuis un bout. Il faut que tu te rappelles ton rôle en tant que guérisseuse qui est primordial, aussi. Pour son épée, Malteste, je pense que celle de Jariel est disponible depuis que je lui ai remis mon ancienne épée. Il faudra la faire essayé à Maria pour la longueur et le poids. Si tu le veux, on se rencontrera à l'arène.

L'Oomius écoutait avec attention leurs paroles. Effectivement ce n'etait pas l'arme qui ce battait et elle avait aussi entendu parler de l'etat d'ame l'hors d'un combat. Pour elle il sera difficile de ne pas avoir se laisser ecraser par ses emotions mais elle etait pe a tout les efforts necessaires. En fait en ce qui est tactique de combat elle n'en avait pas vu beaucoup, normalement la meler arrivait trop rapidement et elle observait plutot les blesser que les tactiques. Elle reprit un sourir plus sincere quand ils discutèrent de son arme. Le fait qu'il lui offre leur aide aussi facilement sans trop poser de question fit monter en elle une vague de bonheure pour apaiser ça peine. Il avait confiance en elle et travaillerais avec elle pour l'habituer au combat. On ne pouvait demander mieux.

- Je ne foncerai jamais tête baisser au combat, mais l'hors des meler je ne peux non plus aller chercher les blesser inconsient avec rien pour me defendre. Il m'arrive trop souvent d'etre attaquer et qu'il me faille fuire en laisse mes amis au seuil de la mort. Manier une arme pourrait me permettre de repousser l'ennemis. Il me sera dure de ne pas laisser mes sentiments de peur m'envahir car deja l'idée d'un nouvel affrontement je suis terrifier. Mais avec de l'entrainement je suis sur que je serai plus confiante et moin appeller par la peur.

-La peur est la première mort. Prend ta peur et laisse la te traverser, chasse là pour qu'à la fin il ne reste que toi. J'espère que tu aura assez peur en entrainement pour apprendre à continuer à respirer malgré elle. Si tu arrête de respirer lors d'un combat, tu ne peut plus bouger. Si tu ne bouge plus, tu sera tuer.
Si tu peu voir ou passer pour aller guérir ou secourir quelque chevalier tombé, tu peut donc voir quel ennemi peut ou ne peut pas te nuire. Tout est dans la décision que tu prend et lorsque tu à décider de frapper, tu ne doit pas changer d'idée. Fait le parce que cela te conduit dans ta voie de guérisseuse, comme moi je le fais pour suivre la voie de Daralys.
Malteste ne ressentait plus d'amertume. Parler de combat l'avait fait chasser ses émotions. Il Était maintenant entièrement concentrer sur ce qui devait être dit pour que cette néophyte ne se fasse pas tuer dès son premier combat réel.

Effectivement, et rappelles-toi que lorsque tu as une épée dans les mains, c'est plus difficile de tirer une personne au sol. Je te conseil d'avoir un bon étui pour la ranger rapidement. Pour ce qui est de la peur, je vais essayer d'être le plus intense pendant l'entrainement. Étais-tu là, lorsque Énicael et moi nous nous sommes entraînés?

La guérisseuse hocha la tête au derniere paroles du nain. Elle ne devait pas perdre la voix qu'elle avait choisit dans la vie et cela n'arriverait pas. Les gens comme elle normalement craignent les armes, les combats, ne veulent pas provoquer de mort. Mais ces terres emplit d'abomination ne lui laissait aucun choix, elle devait faire face a trop de danger et de combat pour rester sans defense. Elle nota mentalement le conseil de Soriel.L'entrainement avec Enicaël... Ah oui elle se souvenait maintenant, Djada, Klarth et Abygael y etaient aussi.

- Oui j'y etait.

Mais elle ne voyait pas vraiment ou il voulait en venir car il avait simplement appris a enicael comment desarmer un ennemis. M'enfin.....

Tous purent voir, en haut de la pente vers la forge, tourné du chemin principal un humanoïde tout de blanc vêtu. À première vue, il semblait être qu'un simple voyageur venu de loin pour s'encquérir des histoires de ces terres et les problèmes afin de pouvoir appuyer tout ceci.

Mais lorsqu'il tourna face à eux et entama sa descente, la vue de son bouclier, de taille moyenne, ainsi que son large marteau de combat montra rapidement son allégeance. Il faut dire aussi que la licorne sur son torse laissait prévoir le coup.

Une certaine luminaissance se laissait aussi voir, comme si sa cape avait été faite dans un matériel qui brillait toujours. Mais cela ne trompa en rien la vision et il pouvait être bien vu que la personne était un galicien.
Mais un galicien fier, avec en permanence un léger sourire pour montrer une certaine bonté. Toutefois, ses yeux pouvaient laissé échapper une attitude ferme et juste, qui savait trancher et ne laisser rien au hazard.

Il se trouvait maintenant à la moitier de la pente et continuait sa route vers le regroupement...dont son regard semblait principalement intéressé par le templier, mais portant un regard sur les autres. Une certaine évaluation pouvait se sentir, comme s'il déterminait s'il y avait quelconque danger venant de ceux-ci.

Soriel, qui était toujours dans la forge, à tâtonner son joyau pendant la discussion, entendit les bruits de pas descendant de la pente. Il se demanda si s'était un habitué ou un nouveau.

- Qui est-ce, Maria?

Soriel fit une petite roulade pour se relever plus près de la porte. En glissant un oeil hors de la forge, il dit:

- Oh, wow!...

Maria reconnut aussi le bruit bien distinct de pas dans la cote. Elle se dirrigea vers la porte pendant que Soriel se releve.

- Absolument aucune idée.

Elle entre-ouvrit la porte question de pas trop laisser fuir la chaleur. Elle vit l'homme qui se dirrigeait vers eux et ecarquilla les yeux.

'' Oh, wow!... ''

- Je dirais de meme. Vous le connaissez ?

L'homme sembalit richement vetut. Que pouvait-il bien venir faire ici?

- Bien le bonjour Monsieur! Ne restez donc pas dans le froid, joignez-vous a nous?

Voila que ses habitude d'aubergiste revinrent au grand galop. Elle fit signe de la main pour l'inviter a les rejoindre. Elle jeta un coup d'oeil a Soriel desoler de couper ainsi leur discution, Maria aurait bien aimer la terminer. M'enfin elle n'allait pas laisser cet homme geler dehors, qui plus est il semblait un peut perdu.

L'homme en question, arrivé tout près de la porte, fit une révérance digne d'un noble, bien que lui-même n'en était aucunement un.
Salutation à vous demoiselle, monsieur, fit-il en voyant ensuite Soriel, j'accepte votre invitation. Cela me fera du bien d'être au chaud pendant un moment.

Il n'y a pas encore de neige, mais elle se fait sentir fortement. J'espère seulement, continua-t-il tout en pénétrant dans le bâtiment, qu'il ne sera pas trop rude pour vous tous.
Peu nombreux, mais au moins, vous semblez bien organisé.

Étant maintenant entré, il se débarassa de sa lourde cape, qui brillait un peu encore, pour l'accrocher à un clou au mur. Tous purent ainsi voir correctement sa grande toge d'inquisiteur et son marteau qui se reliait à sa ceinture par une grande chaine doré.
Pour son bouclier, il le déposa non loin de sa cape pour ne pas en être encombré plus longtemps.

Il portait une armure de cotte qui semblait largement utilisé, mais qui avait gardé son aspect brillant de chaque maillon la composant. De simple brassard de cuir couvrant ses avant-bras et des jambières complètes de mailles. Il semblait près à se battre en tout temps.
D'autant plus que sa ceinture était ornée d'un fourreau aux couleurs de sa déesse, laissant voir la longue miséricorde qu'il utilisait forcément en combat.

Une lourde besace était passée en bandouillère afin de transporter le stricte nécessaire à voyager, du moins cela semblait être facile à en déduire sur ce point.

Soriel se releva plus adroitement pour recevoir le nouveau venu.

- Non, repondit-il à Maria. Il ne connaissait pas cet inquisiteur. Il était vraiment imposant. Soriel se nettoya de tous les copaux de cristal sur son linge. Il rangea la trideo dans sa poche.

Bienvenue à Vastania, Monsieur. Je me présente: Soriel Unilgawel. Voici la dame Maria Gaiya Lester et je crois que vous voudrai rencontrer Monsieur le Templier, Malteste!

Soriel fesait les présentations de la manière elfique avec déférence pour chacune des personnes. Il finit sa moue en direction de Malteste qui était sûrement au feu de forge.

La lumière vous bénisse tous en ce cas, je suis enchanté de faire votre connaissance.
Je suis Clément lighthammer. Petite lignée familliale, mais au moins reconnue pour son dévouement envers Daralys et la vie elle-même.

Il fini par accrocher son marteau à sa ceinture afin d'avoir les mains libres. Je suis certe ici pour de bonnes raisons, mais qui, j'en conviens, regarde surtout le templier. Vous avez su voir juste monsieur Soriel.

Je suis surtout heureux de voir que les gens sont dignes de paroles...en dehors de ces sin'neears que j'ai s'engouffrer dans la forêt.
J'espère seulement que vous n'aurez pas eu trop de problème avec ceux-ci. Il serait dommage que cette si charmante demoiselle en soit incommodé.

- Soyez le bienvenu monsieur, vous portez les couleurs de ma déesse. Que puis-je faire pour vous être agréable?

Malteste ne prisait pas vraiment les inquisiteurs. Ils avaient tendance à manquer de tolérance et à être trop dogmatiques. Mais il respectait ceux de Daralys. Il le recevait donc comme toute personnes qui priait la déesse de lumière.

-Votre besace semble bien légère. Accepteriez-vous de prendre un repas avec nous? Nous parlerons en mangeant.

La taverniere libera le chemin laissant ainsi entrer le Galicien. Une fois celui-ci entré et apres ce mettre a son aise elle prit sa théière la emplit d'eau et la mit sur le feux. Elle allait faire une bonne tisane question de rechauffer ce grand gaillard. Quand Soriel les présenta elle fit une legere reverence de politesse. Les Sin'Near l'incommoder encore fallait-il que ce ne soit pas elle qui les prenne d'avance.

- Oh mon bon monsieur, il faut surtout pas s'inquietter de si peut, j'en ai vu des bien pire.

Sur ses mots elle alla derriere son comptoire et sortit des fiole contenant des fleur des fruit sec et de droles de plantes. Elle les entassa sur son comptoire pour ensuite sortir un petit filtre et un pilon. Elle releva les yeux sur l'inquisiteur.

- Vous prendriez bien un petit remontant bien chaud, je vous l'offre.

Maria etait de nature réellement trop serviable. Clement qui ce tenait la avait visiblement endurer le froid un bon moment une boisson chaude il y avait rien de mieu dans ces temps la. Voila que Malteste invitait le nouveau venue a manger avec eux. Avec un sourire radieux elle reposa son regard du nain au galicien. Avec un telle sourire qui pouvait croire qu'en realiter elle souffrait d'une tristesse etouffante et qu'il y avait a peine quelque minute elle aurait put s'éffondrer en larme.

- Oh mais bien sur, un bon repas vous ferais surment plaisir. Justement hier j'ai finit d'appretter mes viandes. J'ai encore les plus beau morceau je pourrais nous mijotter un bon ragout qu'en pensez-vous?

Elle avait envi de cuisiner normalement c'est ce qu'elle faisait quand elle avait des emotion a faire passer et cuisiner pour d'autre gens etait encore mieu.

- On sera plus a l'aise pour discuter du sujet de votre venue ainsi mon brave. Alors dite nous d'ou venez-vous?

Le froid de la nouvelle saison était l'oin d'incomoder Énicaël dans ces temps de réjouissance. Après tout, qui aurrait cru que le fait de kidnnapper un jeune Arch'Sitak aurait eu pour finale conséquence la destruction de l'ancien dieu de la haine. Daralys venait de remporter une grande victoire. Le garçon se laissait bercer par les vents frais alors qu'il survolait une fois de plus les contrées sauvages de la nouvelle Vastania. Ses ailes se dégourdissait enfin des années qu'elles avaient passée sans être utilisée. Voler était encore une lourde tâche pour le jeune clerc mais, il commençcait à reprendre du poil de la bête. Son trajet le fit passer au dessus du campement des Rézurbecks, des ruines de l'auberges, du cimetierre. Il avait passée la matinée à chercher le nouveau campement d'Azraël sans vraiment y parvenir. Il finit donc par se dirriger à nouveau vers la forge. Il plongea dans la gorge et plana vers le toît de l'atelier du templier. Ses bottes heurèrent doucement le fer qui constituait la toîture en trois pas saccadés suivis des cinq pas rythmés. Finalement, dans un bruisment de plume, la silhoute du garçon atterrit doucement, dos à l'entrée de la forge. Il se retourna et entra dans le bâtiment regardant, à tour de rôle, les occupant dans les yeux pour les saluer de la façon qui lui était la plus convenable, comme il semblait aimer le répéter. Son regard s'arrêta cependant, plus longuement sur la quatrième personne: un inconnu. Les couleurs que celui-ci arborait étaient tout de même très agréable. Il était rare de croiser des gens partageant ses allégeances en ces terres dévastée par le désespoir qu'inspiraient les agents de la Dame de la nuit.

-Qui est-ce? entonna le garçon, à l'adresse de ses trois compagnons.

Soriel se demandait ce pourquoi cet homme était venu, ici. Il était évident que sa quête passait par Malteste, mais Soriel se trouverait sûrement mêler à tous çà tôt ou tard. Il y avait toujours le titre d'Inquisiteur qui faisait un frisson dans le dos de Soriel. Il espérait qu'il n'y ait pas de problèmes ou de conséquences des événements qui se sont passés cette saga. Pour ne rien laisser parraître, Soriel fit un signe de tête à Maira lorsque le nouveau venu lui donna la pièce de copper. Un gros sourire et une face qui disait: Bravo, tu le mérites!

À l'arrivée de Énicaël, Soriel fut surpris que ce soit lui qui arrive. Çà tombait bien.

- Hé, je suis content que tu sois là. Sinon, j'aurais été tenté d'aller te chercher!
Voilà un inquisiteur de Daralys! Çà fait du bien, non? Vous êtes presques tous là.

L'Oomius fit un petit signe de tete pour confirmer son nom. Elle alla alors s'assoir derriere son comptoire et commenca a trirer les epice et les fruit secher. Elle travailla machinalement le tout afin de le poser dans le petit contenant lui servant de filtre afin que les epices ne s'eparpille pas dans l'eau. Tout cela lui prit a peine une minute, elle se leva avec le petit contenant et le posa dans la theiere dans laquelle l'eau commençait a fremir. Quand elle revint pour faire face aux autres Clement etait devant elle et deposa une piece de cent cooper dans sa main. Elle n'avais jamais vu autant d'argent dans sa petite mains depuis son arriver ici. Elle releva les yeux vers l'inquisiteur. Maria le regarda ébahi elle allait refuser puisqu'elle faisait cela de bon coeur mais quand elle vit Soriel derriere celui-ci lui adresser un signe de tete elle se mordit legerement la levre infererieur et adressa a nouveau un sourire a l'homme.

- Merci mon brave, mais rien vous y forçait. ^^

Enicael entra a ce moment elle se tourna vers lui avec une expression de joie. Elle ne lui avait pas beaucoup parler mais elle l'aimait bien ce jeune garçon. Elle le trouvait trop adorable quand il tentait de parler leur langue.

- Ah tient bonjour Enicaël. Je vais m'absenter quelque instant je vais chercher le necessaire pour le repas, ajouta-t-elle a l'intention de tout des autres.

Elle sortit de la forge en enfilant sa lourde cape. Comme la maison ce trouvait tout pres de la forge elle fut partit a peine deux minutes. A son retour elle avait un panier empli de viande apetissante et tout autre ingredient necessaire a son ragout, le reste etait deja dans la petite auberge improviser. L'aubergiste deposa le tout sur le comptoire et alla ensuite chercher des tasse dans son coffre et servit une tasse bien fumante dabort a Clement ensuite a Enicael, Soriel et Malteste, en fait elle ignorait si le nain aimait les thé et tisanes.

- J'espere que cela vous plaira.

Maria retira ensuite la theiere du feu etant encore a moitier pleine il en restait suffisament pour une deuxieme tasses a tout le monde. Elle s'installa ensuite derriere son comptoire et commenca a peller des pomme de terre. Ecoutant la discussion.

Rien ne m'y forcait, dit finalement Clément en empoyant la tasse bien fumante, mais en mon humble intérieur, vous le méritez amplement, coyez-moi. Vous faites un travail qui demande beaucoup d'attention de son entourage et quelque fois, même si cela ne vous enchante aucunement.

Merci beaucoup, puis il prit une petite gorge, tout d'abord, afin de vérifier si la température n'était pas trop élevé, puis, étant correcte, il put en prendre une plus grande.
Ayant savouré; Daralys vous bénisse pour votre gratitude.
J'espère que vous en prendrez un peu, même si vous connaissez les saveurs que vous préparez, il est toujorus aggréable d'en profiter soit-même.

Tout ce temps, Malteste était demeuré silencieux. Apprendre que son mentor était mort lui causa du chagrin. Cependant, il avait appris à vivre avec ce genre de réalité. Il se donnait alors le temps de contrôler ses émotions avant de prendre la parole.
-Ce jeune priant de Daralys est un de mes frère d'arme. Nous pouvons parler librement devant tout ceux qui sont présent ici. Il font tous partis du débelo mortis et on contribué Héroïquement à commencer à pacifier nos terres.
Malteste eu une hésitation. Il fut lui-même surpris de cette expression, "nos terres", il se rendis compte que c'était la première fois qu'il employait ce terme depuis qu'il avait été exclus de Felroche. Il se sentit bien tout à coup. Il constatait qu'il se sentait enfin chez lui. Il sourit doucement.
-Ce sont tous mes frères et ma sœur, je n'ai rien à leur caché.

Soriel pris une gorgée du thé. Il avait lui aussi inspecté le thé à l'arôme, mais il se doutais bien que Maria ne ferait pas çà dans une telle situation. Lorsque Maria comemnça à peler des patates, Soriel déposa sa tasse et s'allongea pour se rendre au pot. Il murmura à l'attention de Maria:

- Tu en veux combien? dit-il en sortant sa dague fétiche et en commençant à en peler une.

Il se rassied au travail pour écouter le nouveau venu avec une attention des plus avides. Il était dans son élément, en ce moment. Il allait apprendre des choses nouvelles en même temps qu'il travaillait avec ses mains avec précision.

La Lester rougit rare son les fois, en vingt-neuf ans, qu'elle c'etait fait tant complimenter. Avant elle avait une simple vie de boulangere, une vie seule apres cet evenement qui lui pesait encore un peut. En revenant de l'exterieur ou elle c'etait aussi servit une tasse de thé. Elle entendit le comentaire de Malteste ce qui lui empli le coeur de joie, savoir qu'on l'estimait ainsi la rendait plus heureuse que tout. Pas simplement heureuse mais plus riche que les roi eux meme. Ses joues se teinterent légerment de rose. Voir Enicael et Soriel verifier son thé la fit rire doucement. Elle savait bien a quoi ils avaient penser mais elle n'aurait jamais servit ce genre de thé a un moment parreil. Apparement sa concoction d'herbe elfique les avaient marquer. Quand le demi-elfe s'allongea elle haussa un sourcil, que pouvait-il bien faire. He bien lui proposer son aide. Cela lui fit un peit pincement au coeur, non pas de peine mais de bonheure et cela se vit sur son visage.

- Disons que six ou huit grosses devrait suffire. Merci, elle avait repondut a la meme hauteur de voix question de ne pas troubler la discution des trois suivant de Daralys.

Maria redressa les yeux sur le Galicien. Elle ne voyait pas vraiment ou il voulait en venir. Oui le nain buvait beaucoup, et alors? Avait-il autant voyager que pour cela?! Voyons cela serait ridicule. Si on devait gronder le Templier a chaque fois qu'il abusait de l'alcool ils en aurait encore pour quelque jours. Chaque etre vivant a son fardeau, sa faiblesse, son pecher mais cela ne valait pas un si long voyage pour un simple sermont. Maria serra d'avantage son couteau ecoutant attentivement. Cela ne la fachait pas vraiment mais l'agaçait un peut. Enfin elle ecouterait ses propos jusqu'a la fin avant de prendre paroles. Elle continua la preparations du repas. Le nain en avait deja suffisement sur la conscience sans qu'on vienne n'y en ajouter. Le nain se devait de montrer l'exemple?! Mais a qui ?! Et pourquoi?! Parce qu'il est templier, ce n'est pas parce qu'il ets fiere representant de sa déesse que chacun de ses geste son fait par elle. La déesse a sa vie a elle et le nain la sienne, a chacun ses erreures. Que l'on blame pas Relin pour chaque faut mouvement des Lesters car il en entenderais parler pendant des sagas entiere. Elle chassa cette pensé de sa tete questions de continuer a suivre la conversation. Elle esperait s'etre tromper sur le sujet de leur discussion sinon cela s'averait ridicule.

Soriel était un peu amusé par le sermon. L'inquisiteur ne savait peut-être pas que Malteste avait déjà entâmé une deuxième Maltessienne aussi tôt ce jour là.
Soriel connaisait la valeur que l'exemple porte à un entourage. Un tel sermon, il en avait reçu un du duelliste du Debello Mortis.
Malteste était effectivement le pilier du Debello en Vastania. Par contre, il savait très bien la responsabilité que cela lui incombait.
Il gardait ses pensées pour lui, en attandant que Malteste se défende. Soriel croyait que l'inquisiteur était venu simplement pour donner une mise en garde, ce qui n'était pas dangereux.
Il continua à peler les patates en vitesse. Il en pela une de plus, après tout, ils étaient rendu 5 au repas, et il y avait un homme épuisé et un nain!

Malteste ouvrit les yeux à une grandeur tel que personne dans ces terre ne l'avait jamais vue faire. Il se sentait étouffer un peut. Il douta de la véracité de ce qu'il venait d'entendre.
Je ne suis pas sure de bien comprendre. Dit-il avec une sorte de toux dans la voix. Une petite cuite de rien du tout et on m'envoie un inquisiteur de ...

Il se retint. Mais sa peau grise devenait lentement cramoisi. Il avait un regard qui devenait mauvais à mesure que sa respiration s'accélérait.
Il dis avec un calme étonnant ou perçait une colère contenue, à peine.:
- Môssieur l'inquisiteur. Je suis très au courant des risques que j'ai pris. Vous constaterai que je demeure très calme,TRÈS, TRÈS CALME. Môssieur l'inquisiteur... Je sais que j'ai trop bue cette fois là ou TOUT ÉTAIT CALME....Monsieur l'inquisiteur. J'espère que vous n'allez pas m'interdire la bière MÔSSIEUR L'INQUISITEUR... Parce que dans ma race il est essentiel que nous buvions cela monsieur. Notre constitution exige que l'alcool serve à la digestion et chaque fois que nous en consommons, ce n'est que par ferveur patriotique. C'était l'anniversaire de mon départ de FELROCHE! MONSIEUR l'inquisiteur. Felroche que je ne savait même plus si elle existait Monsieur l'inquisiteur.
Le visage de Malteste repris peu à peu son teint normal. Il se retourna et regarda vers le sol.
-Mais vous ne pouviez pas savoir cela. Il semble que je n'ai pas encore atteint la pleine sagesse et qu'il me reste des choses à apprendre.. Allons, prenons notre thé et expliquez moi plus à fond votre pensée.