Un bon matin...

Une belle journée ce levait et maria ce leva tot malgré le fait qu'elle ne travaillait pas a la taverne aujourd'hui elle l'avait confier a Bertrand. Elle voulait embouteiller la bière qu'elle avit préparer pour Malteste ayant fouiller dans les grimoire de son cousin elle avait trouver une formule provocant une fermentation plus rapide. L'Oomius sortit du lit sans trop bousculer Klarth et dessendit en bah apres s'être vêtit convenablement pour faire face la fraicheur de cette matiné. Elle dessendit les escalier et se dirrigea vers son tonneau d'alcool, empoigant une louche elle la plongea dans la boisson afin d'en prendre une gorgée. Merveilleux! La formule avait marché! La bière était simplement delicieuse. Maria se prit un peut de pain et commença a embouteiller l'alcool. Le nain avait eut raison un alcool a base de malte et d'orge etait simplement delicieux elle le laisserait baptiser le produit car elle ne se souvenait plus du nom qu'il souhaitait y donné. Elle finit par mettre le dernier bouchon de liège et plaça les bouteille dans des tissus afin de les entasser dans un panier. Elle l'agrippa et se dirrigea vers la forge apres s'etre équiper d'une bonne cape et un bon foulard. La jeune femme ne croisa personne sur sa route étonnament, peut-etre etait elle la seule a oser bravir le froid du matin et il fallait avouer que ca maison etait a a peine deux minute de marche.Elle dessendit la pente qui menait a la forge d'ou une epaisse fumer noir s'échappait. On entendait deja de loin des martellement il travaillait deja si tot? Elle frappa a la porte et entra.

- Bonjour Malteste!

Elle s'engouffra dans la chaleur ettouffante du batiment. Elle alla vers la petite table ou le nain prenait ses comptes normalement et y deposa le panier empli de six belle bouteille.

- Je vous apporte un présent en guise de remerciment pour votre aide.

-Bonjour Maria. Un Cadeau?
Malteste ouvrit grand les yeux. Des bouteilles qui ressemblaient à celle dont la tavernière se servait pour vendre sa bière.
- Il me semble bien bon ce cadeau. Serais-ce la première production de "La Maltessienne" dont nous avons parler au début de la saga?

La jeune femme lui adressa un grand sourire.

- Exactement! J'ai eu enfin un peut de temps pour la concocter c'est ma premiere production et je pensais que cela vous ferais plaisir. C'est pour vous remercier de ce que vous avez fait pour moi et mon commerce c'est dernier jour j'apprécie réellement.

Elle prit place sur un banc pour pouvoir discuter avec le forgerons.

- Comment allez-vous? C'est dernier jour n'ont pas ete facile avec le retour de Rodan, j'espere que cette fois c'est bel et bien finit.

Comme elle avait entendu parler des incomptable retour de ce dieu elle avait peur qu'une fois encore il ne revienne tenter de les ennuyer. Elle souhaitait que la paix vienne un peut en ces terres un peut trop perieuse. Si Imaginya n'aurait pas couler elle retournerait surment chez elle mais maintenant cela etait impossible. Elle ne reverrait plus sa famillle ni ses amis, quel cauchemard. Une ombre passa sur son visage a cette pensé qu'elle effaça rapidement pour ne pas refaire le meme recit qu'elle avit raconter a Azura.

Soriel était assis dans un coin depuis quelque temps. Il avait de la coupe de joyaux à faire pour malteste et la forge lui permettait de garder ses doigts au chaud pour faire son travail de précision.

- Hum, hum. Vous savez, Maria, Rodan a dit que ce n'était pas encore fini. Mais je crois que pour sa part, nous allons en être débarrasser.

Soriel vit l'ombre passer sur le visage de Maria: il pensa à ce moment qu'il n'avait pas discuter avec elle depuis sa bourde, si on peut l'appeler ainsi. Il avait tout de même régler la situation avec François, c'était déjà çà.

L'aubergiste leva les yeux sur Soriel elle ne l'avait remarquer et le fait qu'elle avait un froid face a ce demi-elfe ne l'aida pas. Son commentaire de l'autre soir l'avait vexer, peut-etre ne l'avait-il pas remarquer, mais Maria le regarda durement et inspira profondement comme pour laisser redessendre la tention. Elle esquissa un sembla de sourire, disons que le fait de vouloir tuer rodan et prendre le risque qu'elle reste a jamais un zombie l'avait blesser. Elle prit une bouteille et s'empretta a la debouchonner.

- Je vous sert une choppe?, dit-elle a l'intention du nain.

Elle reprit la parole cette fois pour s'adresser a Soriel.

- Si vous avez réellement detruit son phylactère il ne devrait plus il y avoir de probleme.

- Merci, je vais la goûter enfin.

Il en pris une longue gorgée. Il eu un large sourire.
-Je voie que vous avez suivit ma recette de belle façon! Cela respire la fraicheur de Felroche.
Il fit une pause.
- L'important pour le moment est qu'il se tiendra tranquille, je l'espère, à jamais. Les forces qui lui ont permis d'accéder à autant de pouvoirs sont cependant, elles, toujours actives. Cela nous oblige à la vigilance. Et à se solidariser les uns les autres. Les erreurs qui ont été commises sont choses du passé. Les doubliers serait de bonne augure. Il y a encore beaucoup de travail à faire. La profanation de Daralys sur le mur de ma forge le démontre bien. Je m'arrangerai pour les faire disparaitre, mais ce qui ne partira pas, c'est la haine des priants de Destimone et de Qualistor. C'est pourquoi les partisans du débello mortis doivent faire passer la marche vers la paix devant leur querelle personnelles. Convaincre l'ensemble des habitant de Vastania que la tolérance est l'arme qui nous servira. Il ne s'agit pas de tout permettre bien sûr. Mais de respecter les vues de chacun. D'engendrer l'idée que la liberté de chacun sous entend laisser la liberté aux autres. En attendant que cet idée face son chemin, il nous faudra ne pas tolérer l'intolérable. Comme nous l'avons fait avec cette liche.

- Nous avons bien fait face à Rodan. Je suis désolé que vous ayez été transformée en zombie un moment, mais il fallait nous dépêcher de le tuer avant qu'il ne se rende compte du plan contre lui.

Soriel s'arrêta de tailler la trideo qui était presque finie.

- Vous ne savez peut-être pas, mais la meilleure manière d'enlever une malédiction, c'est de tuer son incantateur. Mettre inconscient la créature pour permettre que l'âme de la victime reprenne son corps et finalement le pouvoir d'argus. Tu comprends que la solution que je précognisait au moment où ton corps protégait Rodan, c'était de le tuer pour te libérer.

L'Oomius ecouta ententivement les paroles du nains. Il avait raison et elle acquisa de la tête quelque fois comme pour lui démontrer l'évidence de ses dires. Elle meme etait deja partit sur ce chemin, depuis son arriver elle ne jugeait personne de part son dieu ou ses action, elle laissait libre la penser des gens tant que cela ne venait pas nuire ou mettre en danger ses amis et cela autant du coter Debello Mortis que les Beluosus Tenebrae. Malgré toute ses bonne intentions Maria se retrouvait souvent dans des conflits ou mise en danger en suivant la voix qui lui etait, apparement juste.

- Vous avez raison Malteste mais cela risque d'être une tache difficile...

C'est a ce moment que le demi-elfe prit parole mais Maria avait pour habitude de ne pas toujours finir ses phrases elle posa son regard sévère sur Soriel. Sur son visage il se dessina plusieur expression consécutive a cahcune des phrase de son interlocuteur.

'' ... mais il fallait nous dépêcher de le tuer avant qu'il ne se rende compte du plan contre lui.''

Son visage se crispa sous la déception et la colere.

'' Vous ne savez peut-être pas, mais la meilleure manière d'enlever une malédiction, c'est de tuer son incantateur. ''
Cette fois elle fut surprise, non en effet elle ne le savait pas. Ce genre de chose n'etait pas de son dommaine mais plutot celui de Klarth.

'' Mettre inconscient la créature pour permettre que l'âme de la victime reprenne son corps... ''

Elle semblait se resoudre, finalement il avait eu raison de vouloir tuer Rodan avant de la sauver.

'' Tu comprends que la solution que je précognisait au moment où ton corps protégait Rodan, c'était de le tuer pour te libérer.''

Elle se mordit la levre inférieur, quelle idiote elle faisait. Maintenant il etait visible qu'elle s'en voulait d'avoir douté de cet homme. Elle chercha ses mots ne sachant que dire, apres tout elle avait elever la voix contre lui alors qu'apres tout il avait tenter de l'aidé. Elle posa sur lui une regar emplit de remord, pinçant les lèvres elle detourna le regard ne pouvant plus le regarder en face. Accuser quelqu'un de vouloir la laiser mourir alors que son geste pouvait en fait la sauver, c'etait horrible. Comment avait-put douter de lui alors que plusieur fois il lui etait venue en aide et l'avait protèger. Elle ne trouvait pas de mots pour exprimer a quel point elle etait navré, alors elle prit les mots les plus simple.

- Je suis désolé d'avoir douté de vous Soriel.

Elle osa poser le regard sur lui apres seulement quelque longue seconde. Pour certain avoir douté de lui aurait put parraitre un geste qui ne vallait surment pas autant malaise mais pour Maria c'etait pire que de l'avoir poignarder elle meme et cela ce voyait a son visage affligé.

C,était seulement un malentendu, vous veniez à peine de revenir à vous même et Rodan venait à peine de disparaître sous nos yeux. J'étais frustré d'avoir raté cette chance de la surprendre. Finalement, ca s'est bien passé. Ne vous en faites pas Maria. Et merci pour l'aide pendant la bataille, j'ai remarqué votre ruban après coup. Je ne me rappelle pas vous l'avoir demandé.

Soriel disait ceci avec un mélange de compassion et de négligeance.
Ce genre de malaise était rien à côté des non-dits entre lui et sa soeur. Par rapport à Argus et aux Dieux. Il se remis à la finition de la pierre.

- Pensez-vous que Jariel va aimé la coupe, Malteste?

-Hé,hé, il n'y a personne à Vastania qui puisse faire mieux. Elle est très belle.
Je suis heureux de voir votre réconciliation. Je comprend ce qui s'est passé. Cela aurait pue être pire. J'ai déjà dû décider la mort d'amis pour que l'ensemble soit protéger.
Oui, belle dame, la pire des guerre est celle contre la guerre elle même. Béni soit le jour ou les forgerons n'auront plus que des socs de charrues à forger. La mort est inévitable mais si les être de ce monde cessait de se la donner les uns les autres, ce serait beaucoup mieux. Destimone peut bien attendre pour ramasser les âmes noires, qu'elles meurent de leur mort naturelle.

Maria soupira silencieusement, elle était heureuse de savoir la vérité et soulager. Elle redressa la tête vers le demi-elfe et lui sourit quand il eut finit de s'expliquer. Il avait remarquer ses soins? Cela la toucha elle inclina poliment la tête vers l'avant.

- Même facher contre vous Soriel je ne laisserais personne prendre votre vie.

Et cela pour personne a qui elle tenait. Elle avait affronter trois drows pour sauver Enicaël, affronter les Quallistorien et Lee pour Marcus, Rose et Violin. Meme si elle ne savait pas se battre cette femme etait doter de courage et d'une détermination de fer. Elle examina la pierre que travaillait le joaillier elle etait dans un bonne avancer.

- J'aimerais voir les jours de paix de mon vivant. Ce serait un reve devenue réalitée.

La mort, elle avait peur de la mort. Non pas de facon commune mais elle avait peur de ne pas vaincre la mort. Que ses soins soit inutile, son savoir innificace, perdre les gens a qui elle tient, etre seule. Elle n'avait pas peur de mourir mais la mort sous son grand nom la terrifiait. Il est evident que la guerre cause des morts il ne pourront avoir la paix sans quelque perte, enfin s'il continue de vouloir gagner par la force. Il y a pourtant tant d'autre facon de l'obtenir. Pourquoi les gens s'obstine a propager la mort ce sont de grande perte autant pour un clan que l'autre.

- Elle est bien jolie, vous avez fait un beau travail je suis certaine que Jariel aprécira. , dit-elle en parlant du joyaux.

Au fond de la forge un bang reconnaissable d'une bouteille déposée sans ménagement se fit entendre. Malteste fit un rot magistrale dont il avait le secret.
- Elle est déjà vide, c'est triste, je peut donc en prendre une autre et ça s'est joyeux. Hé,hé! Il y a toujours une bonne conclusion à trouver même dans les histoires tristes! Ho,ho,ho, hi,hi,hi!

Soriel s'était remis au paufinage de la pierre quand il entendit le rot de Malteste.
"Il a déjà finit! et il est juste le matin. Une chance qu'il a finit mon épée!"

Il ne pu s'empêcher de marmonner: - Déjà..

Suite aux paroles de Maria, Soriel se mit à penser aux prochaines choses à venir. À celles qui étaient encore en suspend.
- C'est dans des jours comme ceux là ou on oublie ses problèmes ou ses responsabilités

- The ignorant is really blessed (elfique)

L'aubergiste mit une main devant sa bouche et lahca un petit rictus. Il lui faisait plaisir de voir que son alcool etait au gout du nain, surtout que la derniere fois qu'elle l'avait servit a l'auberge il avait trouver la biere de Jacques, son patron, bien faible. Si ses talents continuait de s'ameliorer ainsi peut-etre pourra-t-elle ouvrir sa propre auberge un jour, avec de grande chambre et un cuisine gigantesque pour tout les plats et alcool qu'elle ferait. Comme ce serait bien avoir son propre commerce et ne pas dépendre des livraisons de Jacques et Blanche.

'' - Déjà.. ''

Elle etouffa un autre petit rictus, effectivement Malteste avait but toute la bouteille a une grande vitesse. La deuxieme fois que Soriel prit la parole ce fut moin drole par contre. Des responsabilité? Il parlait comme s'il devait quelque chose a quelqu'un.

- Ses responsabilités? Ses problèmes? Et quel genre de responsabilité devrait-on avoir? Je sais je suis pas au courant de grand chose car les gens ne parle pas beaucoup a l'auberge. Mais j'ai sut que deux talismans ont ete retrouver pour eviter que toute la planette ne sombre sous les eaux et Rodan a ete arretter. Vous pouvez prendre un peut de repos vous l'avez bien meriter.

Il parla elfique, elle trouvait cette langue bien jolie mais ne comprenait pas tout les mots et elle ne saisit pas le sens de cette phrase.

- Pardon je n'ai pas comprit ce que vous venez de dire...

- Que vous avez tout à gagner!

Maria fronca les sourcils.

'' Tout a gagner?!''

Elle ne voyait pas vraiment ou voulait en venir son ami. Elle le devisagea un certain moment pour figurer ce a quoi il faisait réellement allusion. Cela ne dura que quelque seconde, elle tourna le regard puis s'adressa a Malteste.

- Les contracteur son venue a l'auberge, Blanche me les a enfin envoyer, et je pourrai enfin chauffer le batiment. Donc je passerai demain tout ramasser et nettoyer la pagaille que je vous ai imposer ici.

-Vous me manquerai, mais si jamais vous avez encore besoin de mes quartiers, je vous les met à disposition, cela m'amène de la clientèle. Et puis, la Maltessienne serait plus près de moi. hé, hé, hé!

Le nain mis la main sur une seconde bouteille et en fit sauter le bouchon. Il la porta à ses lèvre.
-Ha! C'est bien la plus belle chose qui soit née de Vastania! Je n'ai jamais rien bue d'aussi bon depuis Felroche.

Malteste en avait même oublier de souffler sur son feu. Celui-ci risquait de devenir trop faible et de ne pas suffisamment chauffer le lingot qu'il était entrain de travailler. Il activa son soufflet et, dans la flamme rouge on eu crut voir l'ébauche d'une elfe de feu dansante.
-Ha oui, Felroche...
La voix du templier avait baisser et il regardait maintenant les charbons hardant avec tristesse. Cela lui donna un étrange air de démon. Un reflet d'or brilla dans ses yeux. On pouvait y lire la douleur de la solitude. Sa pensée partit au dessus des terres englouties vers l'ile où subsistait peut être encore la ville des nains. Ou n'était peut être pas disparue Galoìne.

En regardant Malteste, Soriel eu une idée. Il savait que Felroche nM'était pas engloutie, mais devenue une île avec des cavernes. Il y avait sûrement moyen de rejoindre les gens de Felroche pour savoir si la situation s'était stabilisée. Un instant, Soriel pensa encore aux monolithes et au danger qu'ils représentaient toujours. Se reprenant, il donna son idée aux autres:

- Eh, tu devrais envoyer une lettre pour échanger avec Galoîne!
Je suis sûr qu'elle a survécue et elle devrait vouloir te parler.
Elle a sûrement besoin de réconfort. et de savoir que des personnes pensent à eux.

La jeune femme esquissa un sourir a Malteste.

- Hé bien maintenant que vous avez une nouvelle clientel je suis sur qu'elle vous reviendra meme apres mon départ, vous faite un si beau travail. Je viendrai vous portez moi-meme de la Maltessienne.

Elle joignit les mains heureuse d'avoir reussit son alcool. Le fait que le nain compliment aussi genereusement sa boisson lui faisait plus que plaisir. Comme elle ne savait que cela, faire des soins et parler un rien lui faisait bien plaisir. Mais son expression changea elle approcha et mit la main sur l'epaule de son ami. Elle savait fort bien a quoi il pensait et son visage a elle aussi s'attrista, Imaginya avait couler comme toute sa famille et ses amis. Elle n'avait pas encore pleuré ou en avait meme pas parler, a l'approche d'azula sur le sujet elle l'avait completement eviter et simplement ecouter la felin ce vider le coeur. Quand Soriel prit la paroles elle retira sa main et fit face au demi-elfe, et lui d'ou venait-il? Avait-il aussi perdu des gens a qui il tenait, son pays natal avait-il couler ou avait-il toujours vecu a Vastania? Une chose etait certaine, tout comme elle il n'en parlait point. Qui plus est il avait raison Ferloche etait pas entièrement couler, Malteste devait garder espoire.

- Soriel a raison, vous pouvez surment encore communiquer avec vos proche, il on encore une ile ou vivre.

L'idée de ne jamais pouvoir communiquer de nouveau avec sa famille lui prit a la gorge, celle-ci ce noua. Elle baissa le regard hor de question de se morfondre elle se devait d'etre forte pour elle et pour les autres. Maria inspira profondément question de laisser passer la vague de tristesse étouffante. Personne ne l'avait entendu parler d'Imaginya depuis que celle-ci avait couler auparavant elle vantait et parlait toujours de cette merveilleuse ville. Elle releva la tete fierement et forca un sourire pour cacher son vrai etat d'âme. Elle hesita un instant a partir mais partir maintenant montrerait surment qu'elle commence a fléchir sous la pression et il n'etait pas du genre de Maria de ressacer les mauvais evenement et d'importuner les autres avec ses ennuits.

-Une lettre...Bien sûr, se serait une façon de voir si je peut venir en aide à mes compatriotes. Encore faudrait-il qu'elle se rende à destination. Je ne crois pas pouvoir y aller moi-même et quel courrier pourrait être charger de la livrée? je l'écrirai surement. Mais, avec les imprévues de la route, je ne me leurre pas sur la possibilité de recevoir une réponse.
Vous avez une idée sur celui à qui je pourrait la confiée?

Soriel essaya de penser à un moyen de rejoindre Maria dans sa peine. Il n'avait pas encore parler à cette dernière de la chute d'Imagynia. Lester lui avait dit que Maria le prenait très mal. Depuis ce temps, Soriel pensait à des moyens de la réconforter. Au début, il se sentait coupable de ne pas avoir réussis à stopper les monolithes à temps pour sauver Imagynia. La bonne solution semblait toujours être à portée, mais les couches de mensonges et d'énigmes, les conflits intestinaux du Debello Mortis avait eu raison de sa volonté d'arrêter cet enchainement. Maintenant, il ressentait un nouvel espoir et une conviction qu'il pouvait choisir ses combats et qu'en restant honnête et vigilant, il pourrait protéger Vastania selon ses pactes faits avec Djada et Derzus.

- Vous savez, je suis vraiment désolé de ce qui s'est passé en Galardia. J'aurais aimé pouvoir empêcher cela. Mais ce qui reste en ce moment, c'est la possibilité d'arrêter ce fléau de recommencer. Je crois que c'est ce que nous devons aux bonnes gens qui sont morts.

La reponse de Malteste etiat vrai comment pourrait ce rendre le message? Cela serait possible si quelqu'un possedait une creature magique volante ou des ailes. Des ailes.... Non ce voyages serait surment trop eprouvant pour Enicaël, il semblait etre jeune et parfois d'avoir du mal a voler. L'esclavage dont il fit victime n'aidait surment pas. Le menton dans la main elle topait sa bouche d'un doigt en reflechissant. Les paroles de Soriel la fit sortir ses pensée. Il avait raison et c'est pour cela que Maria s'éforçait d'aider ses amis avec les monolithes, Rodans et tout autre chose qui pourrait ce mettre sur leur chemin. Elle ne savait pas se battre mais son savoir faire pour s'occuper des gens pouvait etre util, elle se crispa soudainement. Elle en avait assez, assez de rien faire de plus en memoire de tout ses pauvres gens qui ont quitté le monde mortelle de façon si tragique. Elle aimerait tant apprendre a se battre et tenir tete au mal qui terrassait le monde. Elle en avait assez de toujours ce cacher derriere les autres. Elle leva un regad déterminer vers le joaillier.

- Certes! Nous devons honnorer leur memoire. Il faut aussi cesser de ressasser ces noirs souvenir et aller de l'avant.

Encore une fois elle évitait le sujet dont-il etait question. Repenser tout ça etait pour elle mettre du sel sur une plaie ouverte. Elle était déterminer a apprendre a se servire d'une arme non pas pour foncer au combat mais savoir se defendre et défendre, en premier lieux, les gens qui l'entourait aportant soutient a la guerisseuse. Peut-etre que ces personnes ignorait l'importance qu'ils avaient pour Maria mais elle pourait mourir pour eux. Une larme vint embrasser sa joue droite elle passa sa mains rapidement sur son visage pour l'éffacer.

Hors de question de montrer plus de fragiliter, pensa-t-elle.

Son mal voulait sortir mais il en etait hors de question. Elle reprit parole.

- Soriel, pourriez-vous m'apprendre le maniment de l'épée?

Sa voix etait pleine de détermination, elle c'etait decider, finit de jouer a cache-cache avec les abominations ou avec ses ennemis. Elle voulait faire de cela une histoire du passé.

Se rappelant qu'il n'avait pas répondu à la question de Malteste, Soriel ajouta:

- Une lettre par bateau, en passant par Rajpin est la seule solution. Je ne sais pas qui pourrait le faire, mais il ne reste pas beaucoup de temps avant l'hiver. La réponse arrivera surement pas avant le primptemps.

Lorsque Maria lui demanda pour apprendre le maniement de l'épée, il paru surpris:

- Ok.. pourquoi? Je vois que tu sembles décidée. Peut-être que la dague sera plus simple?
Mais l'épée est meilleure pour garder les ennemis a distance...

Elle pinça les levres, oui la dague c'est pratique mais meme un enfant saurait comment manier une dague. Une épée par contre c'est mieu pour gardera distance et c'est plus imposant.

- Non l'épée, j'y tiens. Simplement que je veux me defendre moi meme et aider l'hors des combat ne pas voir le monde courir vers un destin incertain et rester la sans rien faire, a attendre. C'en est trop et ça asser durer. J'y tiens qu'importe ce que dira Klarth, je ne resterai plus derriere alors que les autre se batte pour mes idéaux. Je ne partirai jamais au combat seule, je continurai mon commerce ainsi que mes etudes en guerrison.... mais c'est terres sont si dangereuse que j'en ai asser d'avoir peur de sortir de chez moi ou de me ballader. J'en ai asser de vous voir courir aux combats , elle posa son regard sur Malteste et Soriel, en restant la les bras croisé alors que le dénoument pourrait etre des pires. Je veux etre utile, je veux apportez soutient. Je veux etre presente...

Elle ne savait pas trop quoi ajouté a cela... en fait elle pourrait dire encore un discour trois fois plus long mais elle n'arrivait plus a enligner les mots. Elle etait un peut confuse de sa propre declaration mais elle ne reculerait pas. Ah sa non! Le fait que Soriel accepte de l'aider lui alla droit au coeur.

-Et moi je vous forgerai une épée digne de votre grand cœur. Mais l'épée manier par un bras inexpérimenté est aussi dangereuse pour celui qui l'utilise que pour son opposant. Alors, prenez un bon morceau de bois pour commencer l'entrainement. C'est plus sur. Et n'oublier pas que c'est le corps qui se bat, pas l'arme. Mais surtout... Il ne faut pas que les émotions laisse guider le corps. La peur et la colère endigue l'esprit et empêche de voir les alternatives. Gardez vos émotion pour chanter ou jouer de la musique mais ne les laisser jamais contrôler votre combat.
Malteste avait parler par réflexe de guerrier. C'est le conseil que son père lui avais donner dès la première leçon qu'il lui avait donner. Il revoyait ce centirine aux tresses innombrables dans ses cheveux et dans sa barbe qui le regardait se donner des coup de bâton en riant et avec une lueur de fierté dans l'iris. Cette lueur il l'avait vue disparaitre lorsque le conseil de Felroche lui avait raser la tête à lui, Malteste, juste avant que son père dise ces mots qui se sont inscrits en lettres incandescentes dans son cœur. Il avait entendu ces paroles horribles:" Maintenant, je n'ai plus de fils." Puis son père s'`tait détourné et ne l'avait plus jamais regarder dans les yeux, jusqu'à sa mort en combattant ces mêmes orcs qui avait causer son déshonneur.
Il s'appuya sur son enclume et expira fortement sous la douleur de ce souvenir.