Quel monde de fou...

Quel endroit de fou! C’est lieux sont sans nulle doute maudit et grand ouvert sur les enfers. Les démons et créatures infectes dansaient et fêtaient en ses terres pourrit. Pas assez de la guerre qui se déroulait a quelque lieu d’ici pour l’embêter. D’ailleurs on n’en entendait pas beaucoup parler par ici de cette grande guerre. Après tout rien à faire cela ne la regarde pas. Maria s’inquiétait en tout temps pour son cousin. Mais pourquoi diable restait-il ici? A Imaginya tout est beaucoup mieux et paisible. A quoi lui serrent de rester ici et courir partout pour ressusciter ce Valant? D’ailleurs ce projet semblait bien avancer mais Maria en avait assez de ce faire courir après par des créatures sans âmes et des gens du mal. Elle pouvait comprendre Lester de courir partout et de voyager, sa jambe guérit après tant d’année c’est compréhensible, mais pourquoi ici ? La brave femme pensait de plus en plus repartir à Imaginya mais hors de question de laisser Klarth seul ici. Ah les jeunes ce qu’ils peuvent être trop téméraire. Comme si lui du au de son titre de scribe pouvait changer le monde. Elle avait bien confiance en lui mais pas au point de lui confier la destiner du monde, il n’était pas former pour cela. Qui plus est en le connaissant bien Maria savait bien que si Klarth tentait de faire une incantation, le diable lui-même pourrait en résulter. Hors de question! Maria était dans le campement sa y avoir bougé depuis plusieurs jours. Elle était en train de virer ses choses et ceux de Klarth sans dessus- dessous.

- AH! Mais ou a-t-il foutu ces satanées bouteilles? Je veux bien faire les ventes mais si je n’ai rien pour embouteiller ce n’est pas la peine…

Voila qu’elle parlait seule. Enfer! Elle laissa tout tomber. La femme prit le blé, l’orge et l’houblon qu’elle avait coupé dans la mâtiner. Elle avait cherché depuis deux jours pour trouver tout autre chose que du raisin. Elle en avait assez du vin et la clientèle demande plutôt des bières. Aucun raffinement en ces lieux. Elle prit des lanières de cuir pour serrez les céréales et les ranger dans un gros coffre. Il lui fallait quelque chose pour ce détendre et au plus vite. Du thé! Oh oui un bon thé quel merveilleuse idée! Elle fouilla un autre coffre et sortit un petit contenant qui renfermait des racines peut inspirante mais qui une fois infuser était délicieuse. Elle mit une bouilloire sur le feu et les racines de ginseng dans un petit filtre conçut à cette effet. Elle se laissa ensuite lourdement tomber dans une chaise près du feu. Elle profita des sons de la natures en attendant son thé.