Au matin, Malteste ouvrit les yeux. Rien ne l'avait perturbé dans son sommeille. Il tolérait bien le froid. Il avait y été habituer dès son enfance dans montagnes. Les hivers de Felroche, en haute altitude, étaient glacials. Il raviva la flamme de son poêle et se fit un petit déjeuner, pour peut que l'on puisse qualifier un repas de Malteste de petit.
-Je vais faire diligence de me rendre à ma forge. Il me tarde d'y voir Djada et sa progéniture.
Sans plus attendre, Il emballa soigneusement toute ses choses et sortis de son abri. Le soleil brillait sur la neige et il due froncer les sourcils pour distinguer quelque chose. Cela dura quelques instants, puis, il examina les alentours. Il vit des traces de loup dans la neige. et des enfoncement par bon d'un daim. La pauvre bête avait due servir de pâture au loup.
-C'est normal, dit-il à voix haute. Tous on le droit de manger.
Sur cette phrase philosophique, il pris le temps de se munir de branches de sapin qu'il brêla pour en faire des raquettes de fortune.
-Bon, avec cela, je devrais me rendre à la forge sans trop m'enfoncer.
Il endossa son sac et se dirigea plein est dans ce qui fut en une autre saison la route de la forge.
A mi chemin il croisa ce qui avait été convenue de nommer l'auberge et qui, ne ressemblait en fait qu'à une ruine organisée.
- HA! pensa-t-il, je m'ennui de celle de Vastania la première..
Il ressentis alors une soif terrible qu'il soulagea en buvant à même le flasque qu'il avait dans sa poche. L'alcool lui donna une impression de chaleur réconfortante. Il sortis une pomme de sa musette et mangea en marchant. Il se rendis en milieu d'après midi à la descente de la forge et y vis des pas léger qui descendaient vers celle-ci. Il décida de les suivre et se sentis déjà réconforté de voir que sa cheminé fumais, témoignant de la présence de Djada en ces lieux.